Un réseau national de laboratoires de toxicologie pour plus d’efficacité et moins de coûts
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L’Algérie a réalisé des progrès notables dans l’autosuffisance en médicaments, avec un taux de couverture des besoins atteignant désormais 79%, loin de celui des équipements et des dispositifs médicaux.
Sur ce segment, 98 % d’équipements médicaux sont encore importés, pour une facture annuelle avoisinant les 630 millions de dollars. Un défi de taille que le gouvernement et les opérateurs économiques devront relever pour réduire cette dépendance et développer une industrie locale compétitive.
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Lors d’une récente intervention à la radio nationale, le ministre de l’Industrie pharmaceutique, M. Ouacim Kouidri, a souligné les efforts en cours pour inverser cette tendance. « Notre objectif est de produire localement 30% de ces équipements, avec une qualité exportable », a-t-il déclaré, tout en appelant les investisseurs privés à saisir cette opportunité industrielle.
Si certains produits, comme le mobilier médical, certain consommables ou les accessoires, peuvent être fabriqués localement sans difficulté majeure, d’autres équipements – tels que les scanners, les respirateurs artificiels ou les pacemakers – nécessitent une technologie de pointe et un savoir-faire encore peu développé en Algérie.
Les experts distinguent ainsi deux catégories de dispositifs médicaux : les équipements simples (lits médicaux, tables d’opération, chariots, etc.), dont la fabrication ne requiert pas une haute technicité et pourrait rapidement être internalisée et les dispositifs haut de gamme (imagerie médicale, prothèses intelligentes, matériel de laboratoire), qui dépendent de brevets internationaux et d’une main-d’œuvre ultra-qualifiée.
Pour les spécialistes du secteur médical, l’Algérie a les capacités de produire une partie de ces équipements, mais cela nécessite des partenariats stratégiques avec des leaders mondiaux et un transfert de technologie accéléré.
Ainsi, plusieurs pistes sont envisagées pour développer cette industrie. Il s’agit d’inciter les joint-ventures entre entreprises algériennes et groupes étrangers spécialisés, de renforcer la formation en génie biomédical et en maintenance des équipements médicaux, de soutenir la recherche et développement via des collaborations entre universités et industriels et, enfin, de faciliter l’accès au financement pour les PME innovantes dans le secteur.
Certaines entreprises algériennes ont déjà franchi le pas, à l’image de Saidal et Biomed, qui se sont lancées dans la fabrication de consommables médicaux et de petits appareils de diagnostic. Mais pour atteindre l’objectif des 30% de production locale, une véritable feuille de route s’impose.
Au-delà de l’aspect financier, la réduction des importations de dispositifs médicaux représente un enjeu stratégique pour l’Algérie. La crise sanitaire mondiale a démontré la vulnérabilité des pays dépendants des chaînes d’approvisionnement internationales.
« Nous devons anticiper les prochaines crises en sécurisant notre autonomie dans ce secteur critique », insiste M. Kouidri. Reste à savoir si les industriels locaux, souvent frileux face aux investissements technologiques lourds, sauront saisir cette opportunité.
Si l’Algérie a réussi à s’affranchir partiellement des importations de médicaments, le chantier des dispositifs médicaux s’annonce bien plus complexe. La clé du succès résidera dans une approche pragmatique, combinant partenariats étrangers, innovation locale et volonté politique. Le défi est immense, mais les retombées – économiques et sanitaires – pourraient être historiques.
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